Les nuages sont bien bas ce matin, et le ciel est gris. J'ai eu droit au thé chaud et pain à la mairie avant de décoller. Un grand merci pour l'accueil et la prise en charge par Eric et Corinne, rencontre chaleureuse.
Trois cols au programme, à commencer par celui de Peyresourde (1563 m), puis le col d'Aspin (1490 m) qui m'a paru plus facile (je double deux vélos). Et enfin le mythique Tourmalet (2115 m). Toujours peu de circulation, et je me paie donc le luxe de la meilleure trajectoire, le milieu de chaussée.
C'est confirmé, impossible de redescendre sur Barèges à cause d'un effondrement de la route suite aux orages catastrophe de juin. Un mal pour un bien, je pose mes affaires au camping de Sainte Marie de Campan, je mange le rôti de Luchon, et je monte le gros caillou à vide, dans la purée de nuages humides quasi tout le long. Je discute avec un berger, je tamponne ma carte, et je redescends.
Douche chaude, repos, et ce soir, resto avec Vincent et ses parents qui sont de passage dans la région.
1 commentaire :
Coucou Fred,
je ne savais pas que Vincent faisait le tour de France des restos littoraux ;o)
En tout cas, le physique a l'air d'aller super bien, bel exploit !
On se donne rendez-vous pour une projection "mon tour de France facile" ?
Bises de toute la famille
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